Ludovic Bréant : Comment devenir un entrepreneur zen malgré les obstacles

Ludovic Bréant est un serial-entrepreneur qui a créé une centaine d’entreprises. Mais il y a quelques années, il a traversé une période difficile qui l’a conduit à aborder l’entrepreneuriat et la vie différemment. Il vient de publier son livre “J’ai perdu 40 millions d’euros et j’ai découvert une vie pleine de sens”Découvrez son témoignage pour devenir à votre tour un entrepreneur zen !

Ludovic n’a pas le parcours des entrepreneurs interviewés habituellement sur Pose ta Dem’. Il a commencé à entreprendre très jeune et a fait fortune rapidement. Pas réellement une reconversion, me direz-vous ! En fait, c’est plus que ça : c’est un changement de vie. Je tenais à vous faire découvrir son histoire pour envisager l’entrepreneuriat sous un autre angle. Son expérience de vie et les conseils qu’il livre sont une mine d’or pour les futurs entrepreneurs. Bonne lecture !

Bonjour Ludovic ! Peux-tu nous pitcher ce que tu fais aujourd’hui ?

C’est une très bonne question ! Le jour où on a trouvé son pitch, on a trouvé son projet de vie. Pour ma part, j’aspire à favoriser l’émergence d’une nouvelle génération d’entrepreneurs, des entrepreneurs de cœur qui entreprennent simplement. Ce que je fais aujourd’hui est hérité de mon parcours.

Mon histoire est celle d’un entrepreneur qui a créé une centaine d’entreprises, qui a eu beaucoup de succès dans sa vie, qui a introduit une de ses entreprises en bourse et qui a réalisé ses rêves, mais qui a dû passer par une épreuve douloureuse pour comprendre le sens de sa vie.

Justement, raconte-nous ton parcours ?

J’ai commencé à entreprendre assez jeune. J’ai repris un parc de loisirs-restaurant-discothèque en Normandie quand j’avais 24 ans. On me demande souvent comment j’ai fait pour acquérir ce parc sans argent. J’ai trouvé un établissement qui ne fonctionnait pas, qui perdait de l’argent, donc j’ai racheté des parts de la société pour une somme modique. J’ai redynamisé cette entreprise et elle a pris de la valeur. Quand on ouvre le champ des possibles, on trouve une solution pour démarrer sans argent !

Quelques mois plus tard, j’ai ouvert un deuxième établissement. Mais ce milieu ne me convenait pas vraiment. J’ai arrêté et je me suis formé à la gestion de patrimoine suite à différentes rencontres. J’ai créé ma société seul et 6 ans plus tard, j’introduisais cette société en bourse. Je l’ai revendue à une banque, et c’est ainsi que je suis devenu l’un des plus jeunes entrepreneurs de France à faire fortune à moins de 40 ans.

Alors que mes proches me conseillaient de profiter de la vie et d’arrêter de travailler, j’ai décidé de retenter l’aventure et j’ai créé un groupe dans l’immobilier, l’hôtellerie et la construction bois. Pendant 5 ans ce groupe a eu beaucoup de succès, il était valorisé à 30 millions d’euros. Puis le spectre de la crise de subprimes est arrivé. Mes conseillers me disaient que pour mon activité, il était important d’avoir des usines. J’ai acheté trois usines coup sur coup au plus mauvais moment. La crise nous a fait perdre de l’argent sur une usine, ça a ébranlé l’ensemble du groupe, et malgré mes efforts, le groupe a fini par sombrer. L’aventure s’est soldée par un dépôt de bilan que j’ai vécu comme un échec cuisant.

L'unique newsletter à lire pour enfin poser ta dem' !

Rejoins la communauté de 10000 futurs démissionnaires qui lisent mes conseils concrets et inspirants pour inventer leur vie professionnelle !

Comment expliquer ce retournement de situation après tous tes succès ?

En réalité, la crise est la réponse technique. La vraie raison pour laquelle j’ai coulé, c’est que je n’étais pas à la bonne place. Je l’ai compris plus tard. Tout allait plutôt bien mais je n’étais pas pleinement heureux. J’ai reçu différents signes m’indiquant que je devais changer, mais je n’y ai pas porté attention. J’ai continué à créer des entreprises jusqu’à l’âge de 45 ans.

Sauf que quand on ne comprend pas les signes que la vie nous envoie, une épreuve apparaît. Pour moi cette épreuve a été un dépôt de bilan. Pour une autre personne cela peut être une séparation, un licenciement, une maladie…

Une épreuve n’arrive jamais par hasard. Elle nous montre qu’il y a quelque chose à comprendre.

Au départ je suis tombé au fond du trou car je vivais cela comme un échec terrible. Mais aujourd’hui avec le recul, je peux dire que ce dépôt de bilan a été une bénédiction car il m’a permis de faire un retour sur moi, de comprendre qui j’étais vraiment, mon projet de vie, pourquoi je suis sur terre… Et c’est ainsi que j’ai compris que je n’étais pas à la bonne place en entreprenant dans la force, même si j’avais objectivement du succès.

J’aurais pu continuer et générer des milliards, mais j’aurais certainement perdu ma famille, ma femme, et perdu mon âme. Grâce à cette crise, j’ai préservé mon cercle familial. Je suis avec ma femme depuis 29 ans maintenant, c’est une chance incroyable, qui m’aide beaucoup au quotidien.

J’ai décidé de changer ma vie. Ca s’est traduit par le fait de ralentir, d’arrêter d’avoir un agenda booké des semaines à l’avance. J’ai décidé de profiter plus de la vie et de ma famille, de me ressourcer plus souvent, d’être plus en connexion avec la nature. J’ai opéré une vraie transformation dans ma manière de vivre et de travailler.

Sur le coup, comment as-tu fait pour remonter la pente ?

Ca a été très difficile pendant 3 ans. Puis j’ai commencé par accepter. Je suis passé par un processus d’acceptation de ce dépôt de bilan en me faisant aider par des thérapeutes, des psychologues, des professionnels du développement personnel, j’ai suivi des stages… Cela m’a beaucoup aidé à relativiser et à sortir la tête de l’eau.

Progressivement la lumière a été plus présente et j’ai fait de cet échec une force, à tel point que le nom de mon premier blog était : “Après mon dépôt de bilan” ! Ce blog est devenu “Entrepreneur zen” plus tard, qui correspond plus à ma vibration d’aujourd’hui. 

Tu continues malgré tout à créer et à gérer des entreprises ?

Je continue à entreprendre mais j’entreprends des projets qui ont du sens pour moi. Je gère encore une vingtaine de sociétés dans l’immobilier et l’hôtellerie, mais je le fais de manière différente : je le fais avec plaisir, et surtout je transmets. Je transmets mon expérience par des conférences, un blog, via les réseaux sociaux…

J’aide les gens à entreprendre différemment. Je m’adresse à des entrepreneurs qui ne sont pas satisfaits de la manière dont ils le font (pas assez de succès, pas de plaisir…), je leur montre qu’il y a un autre chemin dans la joie, la légèreté et l’écoute de son intuition.

C’est de l’entrepreneuriat zen : on peut entreprendre, ce n’est pas si compliqué, et on peut le faire en toute sérénité et en toute sécurité.

Donc tout cela, tu ne le faisais pas avant ton changement de vie ?

Exactement, ou je le faisais mal ! J’étais dans la force, dans le contrôle, le “je dois faire”. La vie est le miroir de ce qu’on dit. Si on est persuadé qu’on va avoir du mal, qu’on n’a pas les épaules, qu’on n’est pas fait pour ça… C’est exactement ce qu’il se passera.

La première étape est de prendre la décision. A partir de là, il ne faut plus écouter tout le monde. Il faut en parler à quelques personnes de confiance qui nous tirent vers le haut, mais pas à tout le monde. Dès que quelqu’un critique en disant par exemple “je ne te vois pas là dedans“, “tu n’en es pas capable“, il faut s’en éloigner.  C’est ce que j’appelle des “briseurs de rêves”. L’environnement est très important quand on décide de se lancer.

Si au fond de soi on est persuadé que le projet est le bon, il faut s’écouter et y aller. Il ne faut surtout pas se lancer dans un projet pour faire plaisir ou en réaction à quelqu’un. Ce n’est pas la bonne manière d’entreprendre. Il faut le faire parce que c’est une petite voix en soi qui dit “vas-y”. C’est subtil, mais la différence est importante.

C’est normal d’avoir peur. On est tous passés par là. Je suis sorti de ma zone de confort plusieurs fois. Par exemple, j’avais une peur bleue de me montrer en vidéo. Mais j’avais envie de le faire donc j’ai dépassé cette peur en faisant un petit pas. J’ai tourné une première vidéo très imparfaite, mais au moins j’en ai fait une première. Et depuis, j’en ai tourné beaucoup d’autres !

Quelle que soit l’entreprise que l’on souhaite créer, l’idée c’est de faire un premier pas. On avance jour après jour.

D’un côté on doit avoir un grand objectif précis, de l’autre on doit se concentrer sur un petit pas chaque jour. Comment concilier les deux ?

Je pratique les deux. J’ai mon projet de vie, et tous les jours je fais une petite action. Je découpe ma vision en plan d’action. La vision peut être de créer un blog, d’écrire un livre, de proposer une série de conférences, de prendre contact avec des leaders d’opinion… Quand on a une grande vision, il est important d’ouvrir tous les chemins possibles pour concrétiser cette vision. Il ne faut pas se restreindre à une seule manière d’y parvenir, mais rester ouvert.

Comment faire si on n’a pas d’idée ? Que l’on n’a pas trouvé sa “mission de vie” ?

Trouver son projet de vie est plus global et impactant que le projet entrepreneurial au sens strict. C’est quelque chose qui peut nous animer jusqu’à la fin de nos jours. C’est une question fondamentale à se poser ! 

Cela passe par une introspection. Il faut aller chercher dans ses expériences de vie ce qui nous a fait plaisir, ce qui nous a fait vibrer, peu importe quand c’était. Par exemple, noter qu’il y a 10 ans, j’ai fait une conférence improvisée et c’était génial. Ou même en étant enfant. Moi quand j’étais enfant j’adorais faire des cabanes et des igloos quand il neigeait. J’adorais bâtir. Aujourd’hui, je bâtis des projets ! Pour trouver son projet de vie, il faut mettre le doigt sur ce qui nous met des étoiles dans les yeux, ce qui nous met en joie, que ce soit dans la sphère professionnelle ou personnelle. Si on a du mal, un exercice passionnant est d’aller voir des proches et de leur demander quelle est notre zone de brillance. D’après toi, qu’est-ce que je pourrais faire ?

Et envisager toutes les possibilités. Ne pas se mettre de barrières et accepter le temps que cela prend.

“Trouver sa mission de vie” peut mettre une certaine pression ! Est-il possible de commencer à entreprendre même si on n’a pas la réponse ?

Oui ! C’est justement en commençant à entreprendre, en se mettant en mouvement, qu’on trouve son projet de vie. Je conseille dans tous les cas de commencer à entreprendre dans une direction qu’on apprécie. Aujourd’hui c’est plus facile d’entreprendre qu’il y a 20 ans, il y a des possibilités incroyables avec internet, on peut créer son entreprise depuis son bureau.

Faut-il forcément entreprendre pour être aligné avec sa mission de vie ?

Pas forcément. Je vois aussi des personnes qui se réalisent dans le salariat. Mes salariés par exemple, se réalisent dans ce qu’ils font car ils partagent ma vision, mes valeurs. Mais malgré ça, je recommande de prendre sa vie en main et d’entreprendre, car c’est le meilleur moyen de créer en étant aligné avec soi.

Comment entreprendre en restant zen malgré les factures à payer ?

En écoutant ses intuitions. Il faut apprendre à chercher des réponses à l’intérieur de soi, malgré le quotidien et la pression financière. Cela peut être au cours d’un rituel quotidien : faire une méditation, une marche dans la nature… et laisser venir ses intuitions, voir ce qui émerge, sans se poser de questions.

Je demande à plus grand que moi, à l’Univers, à la vie, chacun appelle cela comme il le souhaite. Je demande, tout simplement. Si j’ai des difficultés à payer mes factures, je vais émettre ma demande : j’ai ma grande vision, mais j’ai mes factures à payer, j’ai du mal, donc apporte-moi des solutions, donne moi la possibilité d’exercer la grande mission malgré mes difficultés financières. Les réponses viennent sous forme de signe, d’intuition… Pour ça il faut être ouvert aux signes que la vie nous envoie. La vie peut nous envoyer un signe sous forme d’une émission à la radio, d’un tableau publicitaire, d’une opportunité inattendue… Au plus on est attentif, au plus la vie nous en envoie. Et la vie nous envoie ce qu’on lui demande, c’est le principe de la loi de l’attraction.

Peux-tu expliquer la loi de l’attraction ?

Quand j’ai terminé mes études en école de commerce, j’ai eu un premier poste de salarié puis j’ai vite commencé à entreprendre. J’ai lu un livre de développement personnel qui expliquait comment réaliser ses rêves. A l’époque j’avais des rêves très matériels : avoir une Porsche, une grande maison avec piscine, voyager à travers le monde, mais aussi des rêves moins matériels comme avoir une grande famille et une conjointe avec telles caractéristiques…

J’ai noté tous mes rêves et j’ai appliqué ce qu’il était conseillé. J’ai laissé le papier avec mes rêves dans le livre, et je l’ai mis de côté. 7 ans plus tard j’ai déménagé et en faisant les cartons, je suis tombé sur ce livre avec le papier qui est tombé. Je l’ai relu et je me suis rendu compte que tous mes rêves s’étaient réalisés. 

La loi de l’attraction se définit comme suit : tout ce qu’on croit, qu’on pense, qu’on imagine, qu’on vibre… finit par se réaliser. Nous sommes les créateurs de notre vie car notre pensée est créatrice. C’est pour cela qu’il faut faire attention à ce que l’on pense !

Tu viens de sortir ton livre “J’ai perdu 40 millions d’euros et j’ai découvert une vie pleine de sens”. Pourquoi l’as-tu écrit et que racontes-tu ?

Je ne suis pas un écrivain. Je me pensais incapable d’écrire un livre il y a encore peu de temps !

Il y a des années, j’étais en stage de développement personnel. Un midi, je me retrouve à côté d’une personne medium. Elle me dit “Ludovic, tu vas écrire un livre”. Je rigole et je réponds “Non je pense pas ! Je n’y ai pas d’intérêt et je ne sais pas écrire, donc ce n’est certainement pas moi que tu vois !“. Elle réplique “Si, si, je vois ta photo en 4ème de couverture”. Je la revois 6 mois plus tard et elle me demande : “Alors ton livre ?” “Bah non, toujours pas !”. Et au final, cette année… j’ai écrit un livre. Cette personne m’a recontacté il y a 6 mois pour me dire “Tu vois, j’avais raison” Cela prouve qu’il faut avoir l’esprit ouvert. Peut-être que cette personne a fait émerger chez moi l’idée d’écrire ce livre, inconsciemment.

Je n’ai pas l’écriture facile donc j’avais une discipline. A chaque fois que j’étais chez moi dans le pays basque, je prenais du temps pour écrire chaque jour. Ca a duré une année. C’est la discipline qui fait que ça s’est concrétisé, un pas après l’autre.

Le livre raconte l’épreuve que j’ai vécu, et beaucoup d’anecdotes sur ma vie et ma transformation. Ce livre peut aider à devenir un entrepreneur zen : comment entreprendre dans la bienveillance, la sérénité… Et je raconte mon histoire de serial entrepreneur. Il se lit très simplement, en donnant des clés pour entreprendre.

A choisir entre un projet qui rapporte et un projet qui a du sens, bien entendu tu recommandes…

Sans hésitation, celui qui a du sens ! Il faut choisir ce qui nous fait vibrer, même si on ne sait pas encore comment gagner sa vie. Faire passer la sécurité financière avant, c’est du gâchis ! Il faut vivre sa passion immédiatement, toujours en ouvrant le champ des possibles. L’argent va arriver car les solutions vont émerger.

Quand tu as un job qui ne te passionne pas, que tu n’es pas là où tu dois être, tôt ou tard il va arriver une épreuve qui va te faire bouger : licenciement, dépôt de bilan, séparation… Quelque chose qui va tenter de te réaligner avec ta mission de vie.

Beaucoup de gens dans mon environnement ont arrêté leur carrière traditionnelle et se sont lancés dans un projet de coeur. Aucun d’entre eux ne regrette ! Par exemple, j’ai déjeuné récemment avec un couple de cadres en entreprise. Ils ont voulu donner du sens à leur vie. Attirés par l’alimentation, ils ont passé leur diplôme en naturopathie et aujourd’hui ils animent des stages pour les jeunes. Ils adorent leur métier et ils vivent très bien de leur passion.

Quelles sont tes sources d’inspiration ?

J’ai besoin d’inspiration du côté plaisir, fun. Un entrepreneur qui m’inspire est Richard Brandson car il entreprend dans la légèreté. J’ai toujours été fasciné par les grands personnages qui ont transformé leur vie : Martin Luther King, L’Abbé Pierre… Ils se sont donnés aux autres et ont créé des choses extraordinaires.

Prenons l’exemple récent du jeune malien qui a sauvé l’enfant du balcon. Il a transformé sa vie en un éclair en écoutant son intuition ! Une intuition merveilleuse qui l’a porté, qui lui a fait sauver la vie de quelqu’un et qui va changer sa propre vie. Je trouve ça fantastique et ça montre que chacun d’entre nous peut se transformer en s’écoutant.

Tes conseils de la fin ?

Tout est possible. A partir du moment où l’on croit en soi, tout est possible, tout peut se mettre en place pour que l’on réalise ses projets.

N’abandonnez pas. Souvent quand on se lance, on nous dit de planifier, de contrôler… Mais je pense qu’on peut faire un business plan très général (il faut pas que le projet soit déconnecté de la réalité) mais être très souple au quotidien. Il faut définir son projet et sa vision au départ, donner un cadre, mais savoir se réadapter en permanence. Quand quelque chose ne fonctionne pas, il ne faut pas se braquer pour rester collé à son plan, mais continuer à avancer différemment en gardant le cap.

Et pour finir : vous méritez le meilleur et je vous souhaite le meilleur.


Le livre de Ludovic Bréant est ici et son site web est là. Vous pouvez aussi le suivre sur Facebook et Youtube


Que retenir de l’expérience de Ludovic ?

  • Toujours choisir ce qui nous fait vibrer avant ce qui peut nous rapporter financièrement. Et c’est en choisissant la voie qui est la bonne pour nous, que l’on ouvre le champ des possibles.
  • C’est en se mettant en mouvement que l’on trouve sa mission de vie
  • Entreprendre est le meilleur moyen de créer en étant aligné avec soi
  • Il est possible d’entreprendre en étant zen : en écoutant ses intuitions et en se reconnectant à soi et à la vie
  • Ne pas abandonner. Définir sa vision, ses objectifs, mais rester souple au quotidien et s’adapter en permanence.
  • La vie est le miroir de ce que l’on dit et de ce que l’on pense. La première étape est donc d’être convaincus que nos décisions sont les bonnes !

Commentaires

>