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J’y pense depuis longtemps…
Je t’en ai déjà parlé…
Je t’ai même demandé ton avis…
Ça y est…

J’écris officiellement mon livre ! 

Après avoir longuement réfléchi, envisagé l’option de l’auto-édition, reçu plusieurs propositions d’éditeurs… Mon choix s’est porté sur Eyrolles !

J’ai éliminé l’option de l’auto-édition pour trois raisons :
1/ Parce que mon objectif avec ce livre est d’accroître la visibilité de Pose ta Dem’ et de toucher les personnes en dehors de la communauté, grâce à une mise en place en librairies
2/ Parce qu’un éditeur m’assurera d’avoir un rendu professionnel, aussi bien sur le fond que sur la forme
3/ Parce que je n’ai absolument pas le temps, ni la compétence, pour tout gérer moi-même

Me voilà donc partie pour une aventure entièrement nouvelle ! J’ai longtemps rêvé d’écrire un livre. Maintenant, j’ai la vision, le sujet, le titre, le plan, les idées, la communauté pour le lire… Il  ne reste plus qu’à… l’écrire ! ?

Ah oui, et j’oubliais le plus rigolo : j’ai 2 mois pour l’écrire.

La date de rendu du manuscrit est fixée au 1er mars.

Quand je réalise, je pense automatiquement à cette scène du film Astérix et Obélix Mission Cléopâtre : “3 mois ?!”

Remplace le 3 par 2, et imagine ma solitude intérieure ! A la différence près que je ne serai pas mangée par les crocos si j’échoue ?

Et puis, c’est de ma faute. C’est moi qui tiens absolument à ce que le livre soit disponible en librairies en juin, car je rêve que tu puisses partir en vacances d’été avec le livre Pose ta Dem’ dans ta valise. Eyrolles a accepté ce challenge à condition que je le rende avant le 1er mars, car l’écriture ne représente que 50% du travail !

C’est le plus grand challenge qui m’ait été fixé.Je n’ai pas la moindre idée de la probabilité de réussite de ce challenge. Les nombreux auteurs avec qui j’en ai discuté ont eu deux types de réaction :

“Ce n’est pas possible. Tu as droit à combien de retard ?” (Mission Cléopâtre, le retour)

Ou :

“Oh t’inquiète je l’ai fait en 2 mois aussi, c’est possible!”
“Ah, formidable ! Tu arrivais à gérer ton business à côté ?”
“Ah non, j’étais à temps plein sur le livre, je n’ai pas dormi, pas mangé et j’ai perdu mes amis”.

Je caricature, mais on n’est pas loin de la vérité ! ?

Alors, je vais faire mon maximum. J’ai vraiment envie d’y arriver.
Mais si je me rends compte en cours de route que malgré tous mes efforts, ce délai n’est pas tenable, je l’ajusterai (à regrets) !

En attendant, on met cette option “report” aux oubliettes et on se concentre sur l’objectif ! Tu peux m’encourager dans les commentaires ?

J’ai réellement commencé à l’écrire il y a quelques jours, et je me rends déjà compte de l’ampleur et de la difficulté de la tâche. Je m’attaque à un ouvrage de 300 pages dont rien n’existe. Je pensais qu’écrire un livre, ce serait comme écrire des articles, ou des chroniques, mais en version longue. Que nenni ! C’est une toute autre manière de travailler.

J’écris par tranches de 30 minutes, 3 à 4 par jour. Ça ne fait que 2 heures, mais 2 heures intensives d’écriture absorbent toute l’énergie de mon cerveau. Impossible d’écrire une journée entière, il y a donc un temps incompressible à prévoir. A cela, je dois ajouter comme tâches d’écriture les réponses aux mails, les chroniques, la préparation du séminaire de janvier…

Pourquoi est-ce si difficile ? J’ai deux explications. Mes réponses vont peut-être t’aider à comprendre pourquoi TON projet actuel est difficile aussi !

Difficulté n°1 : Je ne vois pas le résultat de mes actions immédiatement

Je suis habituée aux projets dont les résultats se voient vite.
C’est pareil pour nous tous : nous sommes hyperconnectés et perdons facilement notre patience ou notre motivation.
Lorsque je lance un programme, je vois le résultat : ventes, participation des membres, clôture du programme.
Lorsque j’accompagne quelqu’un, je vois le résultat : ses avancées, sa satisfaction, ses exercices réalisés.
Lorsque j’écris une chronique, je vois le résultat en temps réel : taux d’ouverture, de clics, réponses par mail.

Mais pour le livre… j’aurai les résultats dans fort, fort longtemps. Les ventes de livres ne se suivent pas en temps réel. Cet exercice d’écriture au long cours est donc difficile mais potentiellement salvateur, en m’apprenant à travailler sans retour immédiat.

Je dois t’avouer que j’ai eu des dizaines d’idées de nouveautés à proposer pour la fin d’année. Mais à chaque fois, j’ai dû m’empêcher de les lancer.
Un atelier en vidéo pour préparer l’année 2020 ; un programme d’écriture ; un e-book d’entrepreneuriat… Mon cerveau qui préfère les récompenses immédiates s’est débattu pour essayer de lancer un projet tout beau tout neuf et surtout plus rapide… alors que je dois écrire ce livre !!

J’ai expressément demandé à mon entourage de m’arrêter tout de suite si je lance encore une nouvelle idée qui me détournerait de mon objectif. Que l’on m’enlève mon ordinateur et mon téléphone, que l’on m’enferme pour méditer une heure et que l’on me recolle le nez sur mon manuscrit !

Difficulté n°2 : L’insatisfaction du résultat

Lorsque j’ouvre le document, j’écris tout de suite. Je ne suis pas bloquée par la page blanche. Je crois que j’ai suffisamment l’habitude d’écrire en partant de zéro.

En revanche, le souci, c’est mon insatisfaction : je ne suis pas contente de ce que j’écris.

J’ai un plan de livre détaillé, qui a été validé par l’éditeur. Lorsque j’écris, je n’ai “plus qu’à” remplir la partie sur laquelle je travaille. Pour cela, j’écris de manière brute les idées que j’ai en tête, et je prévois de repasser dessus ensuite.
C’est pareil pour une chronique ou un article : j’écris d’abord le contenu comme il vient, puis je repasse dessus pour corriger, reformuler, ajouter, supprimer. Le travail se fait en deux temps.
Mais une chronique, c’est court. 300 pages à retravailler… c’est autre chose.

J’ai le sentiment d’être comme un peintre : j’imagine qu’aux premières touches de couleur sur sa toile blanche, ça ne ressemble pas à grand-chose. Il doit aussi s’inquiéter du résultat final. Et puis, au fil des heures de travail, le tableau prend forme. Le peintre s’acharne jusqu’aux moindres petits détails avant d’estimer que le tableau est terminé.
C’est pareil pour moi, et j’en suis aux petites touches de couleur sans bel aspect général.

Est-ce que tu reconnais ces difficultés pour ton propre projet ?

Maintenant, je dois t’informer de trois choses :

1/ On écrit ce livre ensemble !

Je vais régulièrement te partager les avancées du livre et te proposer de contribuer en posant des questions dans la communauté ! En étant dans le groupe privé, tu vas pouvoir y participer. J’en parlerai aussi souvent dans les chroniques du dimanche.
C’est très important car c’est TOI qui seras le lecteur, et c’est aussi grâce à toi que Pose ta Dem’ existe. Donc, ce projet, on le fait ensemble !

2/ Pour rendre le manuscrit à la date fixée, je dois ralentir sur le reste durant le premier trimestre 2020. 

Ne sois donc pas surpris si je suis moins présente et réactive que d’habitude !
Heureusement, ma formidable équipe Pose ta Dem’ est sur le pont ! ?

– Marion et Alice, coachs du programme Nouveau Départ depuis septembre, sont plus présentes que jamais ! D’ailleurs, si tu souhaites suivre le programme individuel Nouveau Départ début 2020 pour démarrer l’année en beauté, clique ici pour programmer un Call Découverte !
A noter : De mon côté, je ne prends plus de nouvelles personnes en accompagnement individuel avant mars. Tous mes créneaux de coaching sont déjà complets de janvier à mi-mars. Si tu veux que l’on travaille ensemble au printemps, anticipe en m’envoyant un mail avant, même si on n’échangera qu’à partir de mars !

Marion est aussi mentor du programme en ligne Nouveau Départ, qui est ouvert actuellement ! (Et que tu peux offrir en cadeau à Noël si tu as un proche en réflexion dans sa vie professionnelle ?)

– Marine est au top de sa forme pour gérer les contenus du site, la modération du groupe et l’animation des réseaux !

Manon et Dimitri accompagnent les membres de Side Project promo #2 sur ces derniers jours du programme ! La prochaine session aura lieu en mars 🙂

– Les ambassadrices des apéros Pose ta Dem’ Hélène (Lyon), Marion (Londres), Tatiana et Alison (Lille), Nathalie (Marseille), Virginie (Montpellier), Laura (Toulouse), Bérengère et Loriane (Nantes) vont animer avec brio les apéros du 22 janvier ! Et moi celui de Paris, bien sûr 🙂 On ouvre les places début janvier !

3/ IMPORTANT : Je lance l’enquête Bilan de l’année !

Pour finir, je suis (aussi) en train de faire le bilan de l’année.
Pour m’aider à faire le bilan de 2019 et à construire l’avenir de Pose ta Dem’, je t’invite à participer à l’enquête ! En quelques minutes, tu vas pouvoir me partager ton avis ! C’est très précieux pour m’aider dans le développement de Pose ta Dem’ pour t’apporter le meilleur en 2020 🙂

Clique ici pour participer !


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